Visite de Baochi, en long en large et en donjon.

Le gamin est partit se coucher, j'en profite pour faire pareil. Je n'ais plus faim et il en reste beaucoup... Je vais au comptoir pour payer et demander à ce qu'on m'emballe les reste pour le lendemain. Je ne pourrait pas conserver ce genre de choses plus longtemps de toute façon. Je profite du fait d'avoir l'attention du bar man pour réclamer une chambre pour la nuit.
Je récupère la clés qu'on me dépose sur le comptoir et commence à partir. Sans trop comprendre pourquoi, je me retrouve dehors.

Bon très bien... C'est pas par ici.

Je fait demie tour et re-rentre dans l'auberge. L'aubergiste me dit finalement.

- Monsieur. Les chambres sont à l'étage.

Je fait un signe de tête et part chercher les escaliers. J'ouvre une porte et tombe sur les sanitaires... Je referme la porte et cherche un autre accès potentiel. Au passage j'entends deux type assis se moquer de moi. Je reste calme, je ne m'énerverais pas... Je n'ai cas faire comme si je n'avais rien entendu et tout se passeras bien.
J'en entend un qui m'interpelle. J'inspire un grand coup avant de me retourner.

- Hey! toi le grand. Ouais, tu serais pas un peu benêt sur les bord *rire* ?! Ne va pas par ici, il pourrait t'arriver des problèmes comme arrivé à ta chambre. *rire encore* Ça serait dommage quand même !

Oh putain, ceux là, jme les faits! Je retrousse mes manches sans un mots mais me souvient qu'on ne peut se battre dans l'enceinte de la ville. Je fait un très grand sourire, et m'approche d'eux. Passant chacun de mes bras derrière leurs épaules.

- Messieurs, merci pour vos conseils. En guise de remerciement, si je vous croise hors de la ville, je n'hésiterais pas à vous donner à chacun un "conseil" aussi. Je vous souhaite une très bonne nuit.

Je me retire et retourne au comptoir... Je n'ais pas l'esprit suffisant pour les remettre à leurs places. Je n'ais que la promesse de leurs casser la gueule si j'ai des ennuis dans cette ville. Elle ne m'arrange pas cette marque, je vais devoirs trouver meilleurs ruses que la force si je veux me défendre. Je demande du regard à l'aubergiste ou est-ce qu'il faut que j'aille. Il me montre du doigt la porte derrière laquelle se trouve les escaliers.

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Le lendemain matin, j'attends le petit aux premières lueurs du jour.
Je sais pertinemment qu'il seras en retard. Le tout et de savoir si ce seras en minutes ou en heures qu'il faudra attendre.

Je n'ais pas eu de nouvelles de nos deux enquiquineurs d'hier, tant mieux. J'espère leurs avoir passé l'envie de revenir me parler.

Assez rapidement j'entends une voix plutôt enfantine à l’intérieur de l'auberge. Elle dit bonjour naïvement à plusieurs personnes.
Je suis prêt à parié que c'est hm....

Pream! Pream, pas "Gamin" c'est Pream. Je dois faire attention sinon il va se vexé.

Chapitre 1: L'arriver à Baochi

Visite de Baochi, en long en large et en donjon.

Apres une bonne nuit de sommeille,c'est à la lueur du jour que je me réveil paisiblement. Un grand sourire sur mon visage au bout de seulement quelque seconde je saute alors de mon lit avec une pensée motivante : Aujourd'hui je vais peut être enfin rentrer dans le donjon !
Après tout cela faisait déjà quelque temps que je n'était pas sortie de la ville et je venais de réalisé que j'avais peut être un peut perdu de ma dextérité avec mon bras. Qu'importe ! Une fois que je serais dedans je n'aurais plus de problème pour y retourné !

J'enfilais mes vêtements à toutes hâte, descendais les escaliers comme un enfant qui courait chercher sont cadeau puis saluait avec habitude les personnes logeant dans les lieux. Avec l'habitude au bout de pas si longtemps que sa tout le monde finissait par me souhaitez bonne chance aujourd'hui encore pour pouvoir enfin passer les gardes. Mais je le sentais ... Aujourd'hui sa seras la bonne !

Mon nouveau compagnon de la journée à qui j'allais servir de guide n'était pas à l’intérieur et je sortais donc pour voir si il était déjà dans les rue. Poussant la porte énergiquement , j'eu pris une grande bouffée d'aire frais du matin et avec un grand sourire j'approchais la masse qui allais peut être réalisé mon souhait.

" Bien le bonjour ! Vous êtes de bonne humeur et prés à partir à la recherche de nouveau bien ?!"

En tout cas moi je l'était ! Et cela pouvais ce lire sur mon visage comme si c'était inscrit sur mon front ! Syura, je compte sur toi pour tenir ta parole !

Le petit sors énergiquement de la tarverne et viens à ma rencontre dans un sursaut d'énergie qu'il me manquerais presque parfois. Il me demande si je suis de bon humeur et si je suis prêt à aller faire les courses. Je répond un peu sèchement, mais en étant poli.

- Bonjour. Je suis prêt à partir. Et toi?

Ca fait peu être rustre, mais je vais m'en contenter. Le tout seras surtout de ne pas le vexer une fois en ville. Dès fois qu'il parte en boudant en me laissant perdu, ce serais domage. Même si j'ai franchement horreur de devoir dépendre des autres pour me débrouiller. Enfin... C'est pas comme si c'était nouveau non plus. Je prend mon vieux sac sur mon épaule solidement, pour allier mes dires à mes actions.

Je regarde de la tête aux pieds l'enfant qui se tenait devant moi et soupire mentalement. Et ça veut aller dans un donjon? J'espère vraiment qu'il ne se feras pas tuer bêtement le jour où il y entreras. Que ce soit avec ou sans moi d'ailleurs. Je n'ai vraiment pas envie de devoir jouer les mercenaires gratuitement pour un enfant incoscient, mais qu'importe. S'il souhaite se faire tuer, c'est pas les occasions qui vont lui manquer dans sa vie future, si tenter quelle ne soit pas plus abrégée encore que ce que je pense.

Je fait un pas en avant et le regarde l'air de dire " On peut y aller ou tu veux rester encore quelques heures perdres du temps ici?". Avec moi, on ne traine pas. Ou que quand c'est véritablement nécéssaire. Je pense soudainement au future proche ou je serais devant chez le forgerons à mettre des heures a choisir mon épée, le temps de tomber amoureux d'elle et de me dire " C'est la bonne! " Un peu comme un premier rendez vous, en somme... Le gamin va s'ennuyer, j'espère qu'il en est conscient.

Ce réponse pleine d'entousiasme est rassurante, on va pouvoir y aller. De mon coter j'ai prit mon budjet avec moi, j'ai tout calculé hier et j'ai une liste des choses qu'il me faut et ne dois pas dépasser la sommes fixé plus tôt. QUE ce dont j'ai besoin. Toujours. Je suis comme ça. Si je commence à m'éparpillé ça se présenteras mal pour la suite.

On commence à s'engouffrer dans la rue, il y a des gens, pas énormément, mais pas mal quand même, je n'ais pas la mémoire des visages alors je n'y prête juste pas attention plus que ça. Si j'arrive à retenir le nom et le visage du petit... Pream? Ce seras déjà une belle victoire personelle. Je reste plutôt à l'aise quand il y a du monde autour, ça me conforte dans l'idée que si je me perds, je pourrait toujours trouvé quelqu'un pour demander mon chemin. Enfin, si je n'éffraie pas mon interlocuteur, ce qui m'arrive peut être encore plus souvent que me perdre tout seul. Je soupire.

Le petit me demande par quoi je veux commencer. Je réfléchis calmement. je doit trouver le plus couteux et le plus indispensable de tous... Comme ça j'aurais le reste du budjet pour les choses moins importantes
Je pense que c'est l'armure. Même si une arme est tout aussi indispensable, mon ancienne est complètement fichu, mais je pense pouvoir encore taper une petites dizaine de fois avec avant qu'elle ne se brise à cause de la rouille. En revanche me battre sans protection est simplement hors de question. J'esquive bien, mais je compte toujours sur ma protection au niveau des bras.

- Armurerie.

Je dépasse la plupart des gens d'une bonne tête et demie, c'est assez amusant et je sent quelques regard inquiets sur moi. Je ne fait quand même pas si peur que ça ? Si? Ou j'ai l'air trop différent ? Même si je suis très loin d'être le seul étranger ici.
Je surveille que le petit Pream ne s'éloigne pas. Je pourrais le perdre aisément dans cette foule de gens qui bouge. Décidemment je ne suis pas fait pour les endroits compliqués... Je souffle un peu en voyant que je ne le perd pas et qu'il a l'air de savoir où il va.

Je cherche du regard la fameuse armurerie. Je finit par la trouver au bout de quelques longues secondes de recherche intensive. Elle a l'air correcte vu de devant cette boutique... Jespère qu'il aurons une armure à ma taille, si ils ne fabriquent que des vêtements du gabarit du petit Pream, je vais être très mal, très vite. Je suis plutôt du genre à jeter mes vêtements quand ils sont abîmer plutôt que de les réparer.

Le petit se retourne et me demande si j'ai une idée précise de ce que je veux.

- J'ai besoin de protection. D'une armure. Minimum plastron, épaulières et avant bras. Si possible pas trop cher et pas trop lourd. Les cuissardes et les jambières on veras plus tard sauf bonne occasion...  Et je ne met pas de casque. Ils ont la désagréable tendance à réduire le champs de vision. C'est très embêtant parfois.

J'explique ce dont j'ai besoin. Comme il pose la question, j'ai le droit de faire une vraie réponse argumenter et tout?
Espérons juste qu'il ne me parle pas d'épée par la suite, car je deviendrais soudainement tout aussi bavards qu'avec les gardes à l'entrée de la ville. Mais en même temps, qui n'aurais pas envie d'en entendre parler des heures durant? Personne!

Je pousse la porte de l'armurerie et entre d'un pas décider.

- Bonjour. J'ai besoin d'équipement. Je peux parler au forgerons?

Le vendeur m'explique qu'ils ne font que vendre et que le forgerons ne travail pas dans la boutique. Je tourne immédiatement les talons sans écouter l'homme au comptoir plus longtemps qui me dit que le forgerons avec qui il travail n'est pas loin dans la rue. Je sors, agacé, et vais voir le petit Pream qui m'attent sagement.

- Je vais être très chiant. Mais je veux pas d'un vulgaire magasin de revente. Je veux quelqu'un qui s'y connait, qui peut me dire quelle soudure est la plus réussit sur chaques pièces s'il le faut. Je ne veut pas d'un équipement sans vie, sans âme. Y a t-il une véritable armurerie ici, avec un VRAIS forgerons dedans?